• Maternelle : Les albums à tout faire

    Maternelle : Les albums à tout faire

    Je lis très souvent la demande suivante : « Je cherche un album pour introduire une séquence sur ... (au choix : le triangle, le problème des enfants mordeurs, la recette du gâteau à la banane, le saut à l'élastique, l'équilibre alimentaire, le décès d'un proche, les gestes barrières, la couleur du cheval blanc d'Henri IV ou le rôle du raton laveur dans la poésie surréaliste au XXe siècle) ».

    Et si c'était une très mauvaise idée ?

    ♥ État des lieux

    Nos petits élèves, de TPS et PS, pour commencer, arrivent de milieux très variés.

    ◊ Certains ont des bibliothèques bien fournies et les parents disponibles qui vont avec. Non contents de cela, ils fréquentent assidûment bibliothèques municipales ou associatives, librairies et salons du livre. Ils voient aussi leurs parents lire pour leur propre plaisir, écouter des émissions littéraires, discuter entre eux et avec leurs amis de leurs lectures. Ce sont, en gros, ceux qu'on appelle communément les Fils De Prof (même si je connais des tas de gens qui ne sont pas profs et qui ont cette attitude face aux livres et des tas de profs qui ne l'ont pas).

    ◊ D'autres ont les bibliothèques bien fournies mais pas les parents disponibles qui vont avec. Ils ont des livres, souvent très beaux, offerts aux anniversaires, à Noël, mais aussi au passage au rayon librairie de l'hypermarché, ils ont aussi des abonnements souscrits par Mamie ou Parrain, mais après les avoir feuilletés seuls une fois ou deux, ces ouvrages ne font plus partie de leur univers car personne ne les a jamais accompagnés dans cette découverte. Autour d'eux, les gens lisent peu, ou alors de l'utilitaire, en râlant le plus souvent contre le contenu de leurs lectures.

    ◊ Quant au troisième groupe, pour ne pas être trop longue, il est composé de tous ceux pour lesquels le livre ne fait pas partie de l'environnement de base sans pour cela forcément que cela présume d'un abandonnisme de la part de la famille (ça peut, mais pas toujours). Ils ont éventuellement vu quelques livres, mais personne n'en a fait cas chez eux. Dans leur famille, personne ne lit autre chose qu'un écran (et encore, quand on peut s'en passer, on ne le lit pas, on regarde juste) ou un courrier officiel.

    C'est une peu la même chose pour nos élèves de MS et GS, mais il faut y ajouter d'une à trois années d'expériences scolaires, c'est-à-dire dans l'immense majorité des cas de fréquentation assidue de l'album à tout faire, avec tout le nuage d'incompréhensions voire de rejet qui peut avoir entouré cette activité.

    ♥ Car l'album à tout faire, ce n'est pas forcément une bonne idée...

    ... parce que, lorsque l'enseignant le sort de son chapeau, chez les petits et tout-petits, c'est un peu comme s'il présentait un peigne à un hippie, ou un couteau à une poule, pour 75 % minimum de son effectif.

    ⇒ Les enfants non accoutumés à la culture du livre n'y voient qu'un objet étrange qu'on regarde au mieux du coin de l'œil avant de passer aux choses sérieuses : bouger, parler, jouer.

    ⇒ Et comme ce qu'en fait l'enseignant confirme l'impression première, ils laissent Fils De Prof 1 et Fils De Prof 2 papoter avec l'enseignant pendant qu'ils passent directement aux choses sérieuses : bouger, parler, jouer.

    Maternelle : Les albums à tout faire
    Merci à Sophie Borgnet pour cette illustration tirée de Pour une Maternelle du XXIe Siècle

    ... et que, chez les plus grands, déjà scolarisés une ou deux années, c'est comme si, pour 75 % minimum de l'effectif, l'enseignant ressortait l'assiette de soupe froide que ses collègues précédents leur avaient déjà imposée pour introduire, au choix :

    ⇒ le jeu du béret dans la salle de motricité, le divorce des parents de Kwenzo et Djeyzia, la couleur rouge, le tracé de la boucle, le laçage des souliers, le rôle des matriochkas dans la culture russe et l'arrosage des radis du jardin de l'école !

    Lorsqu'on considère ceci, on comprend :

    ⇒ que l'album qui, pour 75 % minimum de notre effectif, est un OCNI (objet culturel non identifié), ne peut pas servir de base à notre pédagogie, sauf si on considère que seuls les FDP ont le privilège d'entrer dans les apprentissages par la porte qui leur est familière

    ⇒ que l'album au contraire, avec tous les autres « objets livres », toujours pour 75 % minimum de notre effectif, est le but à atteindre de notre pédagogie (nous en reparlerons).

    Alors comment introduire un apprentissage, un savoir-faire, une réflexion ?

    En maternelle, les apprentissages, les savoir-faire et les réflexions s'introduisent généralement par l'action, et tout particulièrement l'action motrice, accompagnées par l'action verbale et l'action sensorielle, celles-ci visant à créer une action d'ordre social.

    Reprenons un ou deux de nos exemples, choisis parmi ceux qui regardent vraiment l'école (certains cités ci-dessus n'ont pas à être abordés en classe car nous ne sommes ni psychologues, ni psychiatres, ni même médecins généralistes et que nous ne sommes pas non plus professeurs de collège, de lycée ou d'université).

    → Pour introduire le concept de triangle : 

    ⇒ on proposera dans les ateliers de manipulation des triangles de toutes sortes (et pas seulement isocèles posés sur leur base la plus étroite) à coller, découper, colorier, fabriquer à l'aide de matériaux variés, dans des buts au départ décoratifs puis, au fur et à mesure que le concept prend corps, pour les observer, apprendre et comprendre, engageant ainsi chacun de nos élèves dans une action sociale de réflexion.

    ⇒ On accompagnera soi-même tous ces ateliers pour faire entrer l'action verbale de plain pied dans la classe et stabiliser le vocabulaire qu'on a choisi d'automatiser : triangle, côté, « pointe » ou angle, trois, ...

    ⇒ On multipliera les jeux de découverte sensorielle par :

    ◊  le toucher (sac à surprise, fabrication, dessin, ...)

    ◊ la vue (apparier des triangles semblables, ne colorier que les triangles, trier les triangles selon leurs tailles, leurs couleurs, leurs particularités même chez les plus grands)

    ◊ l'ouïe (grâce aux interactions verbales d'ordre social que nous engagerons avec les élèves et que nous encouragerons entre élèves)

    → Le problème des enfants mordeurs

    ⇒ l'action motrice individuelle étant là à inhiber, pour la remplacer par une action motrice d'ordre social, c'est entre l'enfant et l'adulte qu'elle va être traitée, largement accompagnée par l'action verbale de ce dernier, qui empêchera physiquement l'enfant de se précipiter sur ses victimes : « C'est interdit ! Tu peux caresser, donner la main, faire un cadeau (puisque les bisous et autres accolades sont pour le moment interdits) mais tu ne dois sous aucun prétexte mordre, griffer ou taper. Streng verboten ! Donne la main à Untel, tu vois, il est gentil, il veut jouer avec toi. Tu ne peux pas lui faire de mal. »

    ⇒ nous allons chercher à la remplacer par une autre action motrice, constructive celle-ci, et approuvée socialement, à visée sensorielle (toucher, vue, ouïe, goût) et verbale :

    ◊  ateliers du goût (pas forcément pendant la petite semaine d'octobre où elle fait la une des journaux mais plutôt sur l'année pour permettre à chacun de s'en imprégner)

    ◊  tri d'aliments durs, mous, croquants, liquides

    ◊ recettes de cuisine

    ⇒ et un autre type de rapport à l'autre, introduisant ainsi l'action d'ordre social (que la plupart des enfants, même chez les FDP, découvrent à l'école)

    ◊ donner la main pour aider, guider, reconnaître

    ◊ jouer ensemble, accompagné par l'adulte, avec un même matériel

    ⇒ d'abord un pour chacun, avec des objets en trop pour être sûr que chacun en aura un tout le temps, même s'il ne voit plus le sien

    ⇒ puis un pour chacun exactement

    ⇒ puis un pour deux

    ⇒ puis un pour un petit groupe d'enfants

    ⇒ puis un pour la classe : 

    ⊗ à partager : toile de parachute, ronde, ...

    ⊗ à se faire passer : ballon, bâton de relai, bâton de parole, ...

    parler ensemble en petit groupe, en grand groupe, en relation duelle, autour d'une activité, d'un jeu, d'une image, d'un livre, ...

    → un peu plus vite pour tous les autres sujets évoqués ci-dessus

    En résumé, c'est simple :

    1) se demander si ce sujet est collectif ou individuel et si c'est notre rôle à l'école maternelle de nous mêler  de ceci. Selon moi, nous conclurons que non :

    ♠ lorsque cela regarde la vie très privée d'un enfant et que rien ne nous permet de dire que le fait de l'évoquer devant tout le monde sera bénéfique (nous ne sommes pas médecins, psychiatres, psychologues, ...)

    ♠ lorsque c'est un apprentissage tellement éloigné des enfants que seul un ou deux FDP en ont peut-être déjà entendu vaguement parler (nous n'exerçons pas au collège, au lycée, à l'université...)

    2) chercher une entrée motrice, verbale et sensorielle et la traiter sur la durée, si possible tout au long de l'année pour qu'il n'y ait pas un seul enfant qui passe à travers les trous de la raquette et que notre pédagogie ait réellement une action d'ordre social

    3) et c'est seulement quand, grâce à toutes ces actions menées en classe, la connaissance ou le comportement sont établis que nous devons les étayer par la fréquentation d'albums mais aussi d'histoires sans images qui évoquent le même sujet.

    Car c'est à ce moment-là que les objets littéraires résonneront pour tous !...

    L'école atteindra alors son but : les faire découvrir, apprécier et comprendre par tous car elle aura donné à ses élèves la faculté de les apprivoiser...

    Rappelez-vous le Renard du Petit Prince – je ne peux pas croire qu'avec votre obsession de la culture littéraire, vous ne lisez pas vous-même ! – : pour s'apprivoiser on a besoin de temps (remplacez renard par objet, vous verrez, ça fonctionne très bien) :

    - Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...

    - Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.

    - Ah ! pardon, fit le petit prince.

    Mais, après réflexion, il ajouta:

    - Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

    - Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu ?

    - Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

    - Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?

    - Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?

    - C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie "créer des liens..."

    - Créer des liens ?

    - Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde... (Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince)

    Notre rôle est de permettre à ces fameux 75 %, sinon plus, de créer des liens avec la littérature et, en prime, avec l'objet littéraire, de façon à ce qu'ils en aient besoin. Et de les créer sur la durée, grâce à la ritualisation du temps, comme le conseillait ensuite le renard au Petit Prince :

    [...] Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :

    - S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.

    - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.

    - On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !

    - Que faut-il faire? dit le petit prince.

    - Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...

    Le lendemain revint le petit prince.

    - Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai ; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur... Il faut des rites.

    - Qu'est-ce qu'un rite ? dit le petit prince.

    - C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. [...]

    Ainsi le petit prince apprivoisa le renard.

    Une fois cela établi (on fréquente des livres tous les jours et on a ritualisé un temps et un lieu pour cela, comme on va ritualiser peu à peu un temps de lecture offerte et d'échanges autour de cette lecture quotidienne ou biquotidienne , toute l'année), c'est comme pour tous les sujets évoqués ci-dessus, il faut

    → tout d'abord, des actions motrices

    ⇒ dans un coin bibliothèque où l'on peut, seuls ou à plusieurs, accompagnés ou non d'un adulte, feuilleter et commenter des livres, des imagiers, des albums, ...

    ⇒ dans le coin regroupement ou la salle de motricité où l'on peut jouer soi-même les personnages de l'histoire qu'on vient d'entendre (voir Racontamus, écoutatis, comprenunt (8))

    ⇒ dans un coin imitation où l'on peut sortir les personnages d'un « sac à histoire » et rejouer les scènes qui nous ont particulièrement plu (idem)

    ⇒ sur une feuille de papier où l'on peut dessiner, peindre, découper et coller les éléments de l'histoire (idem)

    toujours accompagnées d'actions verbales

    ⇒ raconter, redire, reformuler, imaginer, créer (voir l'excellent livre de Pierre Péroz et Mireille Delaborde qui explique comment faire parler les élèves sur les histoires qu'on leur lit)

    ⇒ inventer des histoires pour des albums sans textes ou des dessins d'imagination

    ⇒ improviser des dialogues entre personnages du sac à histoires ou entre personnages que l'on joue soi-même, en se basant sur l'histoire du livre

    → multiplier les actions sensorielles

    ⇒ en ayant, surtout chez les plus petits, une petite collection d'albums à toucher (comme ceux-ci), à regarder avec attention (comme ceux-ci), à écouter (comme ceux-ci), à sentir (comme ceux-ci)

    ⇒ en faisant jouer ou manipuler les personnages de l'histoire tout en la lisant :

    [∴ comme Pierre Péroz dans l'ouvrage cité plus haut, je préfère les histoires aux albums pour éviter l'imagination à sens unique (celle de l'illustrateur) et le langage limité à la narration forcément au présent, sans connecteurs spatiaux et temporaux, basée uniquement sur la description de l'image

    ∴ là aussi, pour éviter la référence unique, mais aussi la mise à l'écart de certains enfants, les albums viennent après la découverte motrice, sensible et verbale de l'histoire. On présente alors plusieurs versions d'une même histoire en accès libre, dans la bibliothèque de classe, après un simple décorticage tous ensemble pour retrouver dans leurs illustrations les péripéties de l'action racontée oralement et vécue physiquement]

    ⇒ en sollicitant l'attention visuelle des enfants (difficile en ces temps de visages masqués) par des mimiques, des gestes, quelques illustrations (les mots inconnus par exemple

    ⇒ en sollicitant l'attention auditive des enfants (changer de voix : hauteur, rythme, intensité, couleur, ...), utiliser des instruments qui ponctuent l'histoire (Boucle d'Or frappe à la porte... 3 coups de claves... la porte s'ouvre... flûte à coulisse... la petite souris descend les escaliers en courant... tapotements de doigts sur un tambourin...)

    pour aboutir à l'action d'ordre social (le fameux Vivre Ensemble, rebaptisé Devenir Élève)

    Maternelle : Les albums à tout faire
    Merci à Sophie Borgnet pour cette illustration tirée de Pour une Maternelle du XXIe Siècle

    ⇒ en faisant des moments de lecture ou d'observation d'albums un moment de plaisir où la parole de chacun est sollicitée et valorisée (voir Pierre Péroz et Mireille Delaborde) et non des pensums interminables et pesants aux activités trop nombreuses, trop lourdes et souvent trop excluantes

    ⇒ en créant ensemble des « vrais livres » inventés par la classe et illustrés par les enfants eux-mêmes, chacun sa page (même si le résultat obtenu n'est pas digne du magnifique abécédaire que la collègue d'en face a exposé sur Pinterest)

    ⇒ en étant soi-même « ami des livres » et en en présentant ou recherchant souvent au cours des activités de la classe (c'est-à-dire pas seulement celle du rituel "lire et comprendre des histoires") pour illustrer une action, préciser un mot, montrer une technique d'illustration, rappeler un événement déjà vécu, présenter une nouvelle idée, ...

    ⇒ chez les plus grands, on peut aussi prévoir des moments d'échanges autour de livres empruntés par les enfants et emportés à la maison, tout en sachant que cette façon d'externaliser l'instruction scolaire a ses limites car si elle favorise grandement ceux qui le sont déjà, les FDP, ce qui en soi n'est pas très grave et peut même rendre service, elle pénalise aussi les 75 % ou plus qui rencontreront chez eux très peu ou aucun renforcement positif, voire même parfois un dénigrement systématique de l'école qui, comme on le sait, « fout rien et préfère faire chier les parents plutôt que s'occuper des mômes (sic) » !

    N'hésitez pas à poser vos questions ci-dessous. Je vous répondrai avec plaisir.

    Je profite de ces dernières lignes pour présenter mes excuses à une amie qui se reconnaîtra et. qui avait dans l'intention de créer une collection d'albums pour enfants rivalisant avec celle qui est actuellement la plus en vogue dans les classes maternelles. Elle avait déjà quelques titres (Quintilien le pangolin a du mal à tenir son crayon, Quintilien le pangolin s'ennuie aux TAP, Quintilien le pangolin et le parcours de motricité du mardi, ...), et je suis sûre que son imagination fertile lui en aurait vite suggéré de nombreux autres ! Qu'elle se rassure néanmoins, je pense que malgré mes arguments, l'album à tout faire a encore de beaux jours devant lui.


  • Commentaires

    1
    Aurore
    Samedi 12 Décembre 2020 à 18:07
    Le sigle FDP...
      • Dimanche 13 Décembre 2020 à 09:42

        Je l'ai emprunté à ParentsProfs le Mag. Je trouvais qu'il changeait un peu de Pierre-Hippolyte et Pasiphaé-Andromaque... Il vous choque ?

    2
    Aurore
    Dimanche 13 Décembre 2020 à 12:07
    Je n'ose pas dire ce qu'il signifie pour moi: fils de p....
      • Lundi 14 Décembre 2020 à 09:46

        Je pense que c'était fait exprès, dans leur esprit. L'élève modèle de l'histoire réduit à l'élève le plus décrié par ses maîtres. Je vais mettre une petite traduction dans le le texte. Cela évitera la confusion.

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